Sensation Séductrice
C’était un jour d’automne, nous nous sommes croisés,
Le ciel était mitigé, le soleil brillait malgré un vent frais,
J’observais autour de moi, je sentais mes cils s’iriser,
Alors, je goûtais chaque saveur que la nature m’offrait.
Les grands tapis de feuilles craquaient sous mes pas,
Aucun de ces crissements, je ne les oublierais pas,
Un court instant, je me suis assise contre un chêne,
Ses racines m’ont accueillie, telle une amie retrouvée.
J’écoutais le vent fredonné, une mélodie douce,
Les feuilles dansaient en tourbillons, libres et farouches,
Et là, au creux de l’automne, j’ai ressenti la magie,
La communion avec la terre, l’éphémère et l’infini.
Le temps s’est figé, suspendu entre les branches,
Et j’ai su que ce moment serait à jamais une empreinte,
Dans le livre de ma mémoire, une page dorée,
Où le chêne et moi avons partagé notre secret.
Contre lui, les yeux mi-clos, je me suis mise à parler,
Dans l’espoir que ce soit toi qui m’écoutes,
Tant de mots fleurissaient sur mes lèvres,
Tout bas, j’espérais qu’ils résonnent jusqu’à toi.
Oui toi l’être que j’ai croisé sur les chemins du hasard,
D’un sourire, d’un regard, tu m’as séduite,
Notre rencontre fut un rêve éveillé, une illusion devenue réelle.
Depuis ce jour, je n’ai cessé de penser à toi, à ton visage empli d’émois,
Tu es entré dans mon cœur, comme une étoile dans le ciel.
Et je voudrais te revoir, te dire tout ce que je ressens pour toi.
C’était un jour d’automne, nous nous sommes croisés,
Le ciel était mitigé, le soleil brillait malgré un vent frais,
J’observais autour de moi, je sentais mes cils s’iriser,
Alors, je goûtais chaque saveur que la nature m’offrait.
Les grands tapis de feuilles craquaient sous mes pas,
Aucun de ces crissements, je ne les oublierais pas,
Un court instant, je me suis assise contre un chêne,
Ses racines m’ont accueillie, telle une amie retrouvée.
J’écoutais le vent fredonné, une mélodie douce,
Les feuilles dansaient en tourbillons, libres et farouches,
Et là, au creux de l’automne, j’ai ressenti la magie,
La communion avec la terre, l’éphémère et l’infini.
Le temps s’est figé, suspendu entre les branches,
Et j’ai su que ce moment serait à jamais une empreinte,
Dans le livre de ma mémoire, une page dorée,
Où le chêne et moi avons partagé notre secret.
Contre lui, les yeux mi-clos, je me suis mise à parler,
Dans l’espoir que ce soit toi qui m’écoutes,
Tant de mots fleurissaient sur mes lèvres,
Tout bas, j’espérais qu’ils résonnent jusqu’à toi.
Oui toi l’être que j’ai croisé sur les chemins du hasard,
D’un sourire, d’un regard, tu m’as séduite,
Notre rencontre fut un rêve éveillé, une illusion devenue réelle.
Depuis ce jour, je n’ai cessé de penser à toi, à ton visage empli d’émois,
Tu es entré dans mon cœur, comme une étoile dans le ciel.
Et je voudrais te revoir, te dire tout ce que je ressens pour toi.
