La promesse de nos étoiles
Tu me parlais de tout et de rien, juste des choses de la vie,
Je sentais l’écho de ta voix dans le creux de mon épaule,
Durant un instant, des odes florales et épicées, planaient,
Chacun de tes mots venaient toucher mon cœur,
Alors que mon cœur battait à rompre ma poitrine.
Je restais là, près de toi, à boire chacune de tes paroles,
Toi, par tes mots, ta douceur, tu as réveillé mes envies,
Je frissonne dés lorsque tu glisses ta main sur mon étole,
Entre tes bras, j’aimerais me glisser pour m’y pavaner,
Au rythme des heures, nous confondrons nos chaleurs,
Je me ferai douce, ton regard mêlé au mien, on se devine.
Toi, tu es seul qui puisse avoir les mots qui me consolent.
Face à toi, je renais en espérant donner à mes chimères la vie.
Toi et moi, deux étoiles errantes, cherchant un abri,
Dans ce monde de rêves et de mystères, où tout se confond,
Nos envies s’entremêlent, comme des étoffes de soie,
Et chaque instant passé près de toi, un doux frisson.
Ton regard, miroir de mes chimères, me console,
Il réveille mes espoirs endormis, mes désirs enfouis,
Et face à toi, je renais, prête à donner vie à mes songes,
Nous sommes l’essence d’un poème, l’éternité dans un soupir.
Dans l’écho de nos silences, une histoire se tisse,
Comme un fil d’or entre nos âmes, une douce promesse,
Les mots se mêlent, s’entrelacent, dansent à l’infini,
Et nos cœurs, en unisson, battent leur propre ivresse.
Toi et moi, deux étoiles errantes, cherchant un abri,
Dans ce monde de rêves et de mystères, où tout se confond.
Tu me parlais de tout et de rien, juste des choses de la vie,
Je sentais l’écho de ta voix dans le creux de mon épaule,
Durant un instant, des odes florales et épicées, planaient,
Chacun de tes mots venaient toucher mon cœur,
Alors que mon cœur battait à rompre ma poitrine.
Je restais là, près de toi, à boire chacune de tes paroles,
Toi, par tes mots, ta douceur, tu as réveillé mes envies,
Je frissonne dés lorsque tu glisses ta main sur mon étole,
Entre tes bras, j’aimerais me glisser pour m’y pavaner,
Au rythme des heures, nous confondrons nos chaleurs,
Je me ferai douce, ton regard mêlé au mien, on se devine.
Toi, tu es seul qui puisse avoir les mots qui me consolent.
Face à toi, je renais en espérant donner à mes chimères la vie.
Toi et moi, deux étoiles errantes, cherchant un abri,
Dans ce monde de rêves et de mystères, où tout se confond,
Nos envies s’entremêlent, comme des étoffes de soie,
Et chaque instant passé près de toi, un doux frisson.
Ton regard, miroir de mes chimères, me console,
Il réveille mes espoirs endormis, mes désirs enfouis,
Et face à toi, je renais, prête à donner vie à mes songes,
Nous sommes l’essence d’un poème, l’éternité dans un soupir.
Dans l’écho de nos silences, une histoire se tisse,
Comme un fil d’or entre nos âmes, une douce promesse,
Les mots se mêlent, s’entrelacent, dansent à l’infini,
Et nos cœurs, en unisson, battent leur propre ivresse.
Toi et moi, deux étoiles errantes, cherchant un abri,
Dans ce monde de rêves et de mystères, où tout se confond.